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Solar Ranks
22 décembre 2009

(affrontement dans l'espace)

 

Mars – historique des années 30 et des années 40

 - juin 2135 -

 

Capsule 6 du Destroyer le « Stinky Toy » - dans la Guêpe 13, en Stand-By.

 

La « Bruja » était assise dans son cockpit dans la Guêpe 13. Le « Stinky Toy » et la « Marie-Galante » se portaient à la rencontre de la pointe du dispositif Mauve en approche. Autour des deux lourds Croiseurs Patrouilleurs Joviens qui venaient vers eux, une vingtaine d’orbiteurs rapides, selon toute vraisemblance armés, veillaient comme une équipe de frelons énervés. Leurs propres nefs, trois fois plus petites que les Croiseurs Patrouilleurs mauves bénéficiaient au moins d’une rapidité supérieure. Mais les ingénieurs physiciennes des Lysistrates n’avaient pas réussi à stabiliser leurs générateurs de champs dans les soutes des Destroyers Verts. « En si peu de temps, c’est impossible. » – disaient-elles. Ce serait donc un affrontement sans boucliers énergétiques, à l’ancienne. Et un missile court en général plus vite que sa cible.

 Le Stinky Toy et la Marie-Galante, sans casser leur erre, éjectèrent chacun 4 de leurs Guêpes. Les pilotes d’intercepteurs, une fois sorties, continuèrent à avancer vers les Mauves, loin devant. La télédétection ne signalait rien d’autre que les nefs ennemies en approche et les leurs, derrière. Le contact entre les formations ennemies était programmé dans cinq heures. Mais d’ici là, tout serait certainement joué depuis un moment – se dit la « Bruja » en vérifiant les positions des ailières de son squadron. Elle et Ludmilla, restées dans leurs capsules, en réserve, chacune dans un des navires, basculèrent en mode d’écoute et de guet global de leurs squadrons. Les deux co-pilotes restèrent linkées avec les passerelles de contrôle des Destroyers. Leurs Implants shuntèrent et leurs pensées personnelles se virent reléguées loin à l’arrière-plan, plongeant derrière les données qui défilaient dans leur esprit avec un sifflement de vent mental de mauvais augure.

 ……………………….. À  cinq heures de là…………………………

 « Lancez deux et trois. »

 Deux sabords ouverts laissèrent passer de longs missiles de croisière spatialisés de 21 mètres de longs chacun. Les grosses torpilles accélérèrent et disparurent dans le noir de l’espace. C’était des projectiles autoportés chargés de sous munitions rapides à explosifs classiques. Leur taux et leur rapidité de dispersion, à fort pouvoir destructeur, étaient réglés pour faire le maximum de dégâts de proximité sur un rayon de plusieurs dizaines de kilomètres.

 Les deux officiers laissèrent passer 11 minutes, sur le pont du « Wessex », Croiseur de marine spatiale venu du secteur Cassini. Leur nef avait passé un an amarrée aux ateliers de l’usine orbitale Jup 5 afin d’y être modifiée pour devenir un instrument de guerre. La Charte avait autorisé la militarisation d’un quart de la Flotte Jovienne environ. Son adjointe Ranke 2 remarqua tandis qu’ils observaient les trajectoires des missiles de croisière :

 « Ça ne les affectera même pas, elles ne vont pas venir les cueillir à la main. »

 « Non, évidemment pas. Nous procédons comme convenu. Lancez la seconde salve ! »

 Ce sont six missiles qui filèrent des sabords des deux croiseurs cette fois, le « Sibierskaïa » avait fait feu, lui aussi. L’escalade commençait, graduellement, sans précipitation, à l’ancienne.

 « Prévenez le reste de l’escadre : Les phases de Test sont en cours. ». Dit le Général commandant du Wessex au responsable comm.

 « Oui monsieur. ». Le spécialiste repartit vers ses équipes en filant en trace directe 15 mètres plus bas. L’apesanteur en passerelle de commandement est une grande chose.

 L’autre commandant, la Colonelle Ranke 2, se sangla à son pupitre et chercha à contacter leurs approvisionnements missiles pour s’assurer que tout se passait au mieux en soutes.

 Dans leurs sièges coquilles, en noyau Grav 1, les Opexs chargés du guidage missiles sentaient des gouttes de sueur virtuelle leur dégouliner le long des synapses.

 « Que disent nos amis des Dopplers ? » Demanda la commandante en second.

 « Le premier tir va atteindre leurs Guêpes dans quelques minutes, Colonelle, vingt au plus. »

 ……………………………………………………

 Les Vertes avaient toutes vu les départs de lancement missiles de leurs ennemis, vers lesquels elles continuaient à obstinément se ruer. 4 minutes avant le contact elles séparèrent leur groupe en deux. Six minutes plus tard, chaque quatuor de 4 Guêpes poursuivi par un des missiles de première vague, éclata les formations et chacune des pilotes essaya de ne pas penser à qui allait être la dernière targetée. La « Bruja », leur cheffe, sur le « Toy », observait les trajectoires avec appréhension. Sur le pont des deux Destroyers, la tension n’était pas moins vive. Les missiles choisirent de s’attaquer aux intercepteurs verts fuyant en secteur zénital, ils triplèrent leur vitesse et se collèrent chacun aux fesses de leur cible.

 « Opérateurs pilotes confirmés ! Missiles Pex ! » Cria la pilote de la G3 qui sentait sa dernière heure arriver. La machine requinoïde et fusiforme se débarrassait de sa dernière gangue de coque et de multiples crachats de missiles ultra rapides n’allaient pas tarder à en jaillir, eux aussi Pexistiquement contrôlés – Pensa t’elle en tentant de s’évader du faisceau de poursuite.

 Les trois autres ailières de sa formation avaient déjà repris leur course vers les bâtiments mauves. Il ne restait plus qu’elle et ces satanés connards d’intégrationnistes aux commandes de leurs … …Le missile, à plus de 120 kilomètres derrière elles, explosa en libérant ses sous munitions autoportées. Le diadème de sa co-équipière était parcouru de longues impulsions.

 « Alors ? » Demanda t’elle à sa seconde.

 Elle reçut les diagrammes et les schémas d’expansion le cœur battant. La centaine de missiles jaillis du ventre de feu leur maman de croisière, se déroutaient en un nuage de filaments  menaçants qui continuait à pointer dans leur direction. Sa partenaire enclencha tous les systèmes de leurres dont disposait leur chasseur-bombardier. Les deux tiers de la nuée de serpents de carbone et d’acier furent effacés, le reste se rapprochait d’elles à haute vitesse.

 

Elle contrôla en un éclair la situation de la G7, qui était l’autre Guêpe prise en chasse par le second missile. Elles avaient été rattrapées. Leur petite nef était kaputt, tous systèmes muets sauf les radios casques individuelles. Elles avaient l’air d’être vivantes toutes les deux.

 « Dégages, dégages ! » – entendit-elle dans ses écouteurs. Elle entama une série de vrilles spiralées et pour finir, elle plongea la G6 en piqué inversé. Sa co-pilote perdit connaissance, écrasée par les G du virage en épingle à cheveux. Après ces 10 minutes d’acrobaties, ses senseurs lui apprirent que sa manœuvre avait fonctionné. Les petits missiles qui n’avaient pas pu faire sauter leurs charges étaient à court de comburants. Elle secoua sa sœur de combat qui revint à elle au bout d’une minute ou deux. Elles firent un check, la guêpe n’avait pas trop souffert, les dégâts étaient supportables. Leur intercepteur s’aligna vers le point où la G7, immobile dans le froid de l’espace, flottait, inerte. Elles allèrent secourir leurs sœurs moins chanceuses. Les alvéoles de survie, dans les flancs de leur vaisseau miniature, accueillirent les 2 rescapées vertes dans le quart d’heure qui suivit.

 La lieutenante pilote de la Guêpe 7 détruite, criait comme une damnée dans son micro de casque à nouveau connecté à un émetteur en état.

 « Stinky Toy ? Marie-Galante ? On a le scan de la seconde vague de missiles, ce sont des Nukes ! De l’Hydrogène ! »

 Leur chasseur était plus près que la G6 de la trajectoire de seconde vague de missiles tirés par les Mauves. Les six guêpes de pointe en avait détruit 4 mais les 2 autres avaient continué en direction de leurs bâtiments d’attache martiens. Les deux saletés les avaient dépassé juste avant que leur comm ne tombe en rideau. Il ne s’agissait pas de missiles classiques, mais de fusées à charge thermonucléaire, avaient révélé leurs scans Doppler.

 …………………………………………………………………

 A 13 minutes de là, La « Bruja » et Ludmilla s’étaient éjectées des flancs de leurs Destroyers à 13 minutes des impacts missiles. Les guêpes de pointe avaient détruit 4 des 6 projectiles de seconde vague. Selon les 12 pilotes Vertes il s’agissait du type de ceux qui avaient eu la G7.

 « Bruja ! G7 survivantes signale que ce sont des Nukes qui arrivent sur nous, pas des classiques. » - Signala Ludmilla depuis le « Marie Galante ».

 « Je sais, je l’ai eu en même temps que toi, ma chère. »

 « Eh ben – On vous dit merde ! » - Leur signala la co-pilote de l’autre équipage.

 Les deux avant-dernières Guêpes de défense, pilotées par les cheffes de squadron, bondirent vers leurs cibles. Ludmilla arriva la première sur « son » missile qui fonçait vers le « Stinky ». La bombe de trois mégatonnes explosa à 300 kilomètres du Destroyer, vaporisant la G13 de la russe et de sa co-pilote. La Bruja eut plus de chance, elle réussit à accrocher l’autre engin plusieurs fois et parvint à le stopper à environ 110 kilomètres du « Marie-Galante » avec ses missiles crocs. Malheureusement, les Opexs Joviens, sur le Wessex, purent déclencher la mise à feu. Le missile mauve était une bombe H à effet électromagnétique renforcé, lui aussi, et l’électronique de bord du second de leur navire, touchée par l’onde, vacilla puis mourut. Tandis que son équipage se transbordait vers le « Stinky Toy » venu à sa rescousse, la bataille au loin faisait déjà rage mettant aux prises les Guêpes avec les chasseurs d’escorte mauves. La mort dans l’âme, la « Bruja » appela Sean, Zdenka et les autres pour avoir le Feu Vert de déblocage des codes de leurs propres engins atomiques. Puis elle les transmit aux Guêpes restantes de son avant-garde et mini Flotille d’attaque et de défense avancée martienne.

 ……………………avant-garde de l’escadre Mauve…………………

 Le « Wessex » agonisait lentement. Les Vertes, pendant qu’elles nettoyaient leur escorte, avaient balancé deux missiles A à fission que le croiseur n’avait pas pu détruire suffisamment loin de ses coques. Des trouées béantes dans ses flancs finissaient de laisser échapper des flots de gouttelettes d’air et de carburants. Quelques missiles avaient été détruits dès leurs lancements autour de lui et les débris encombraient sa maigre zone d’attraction. Plusieurs compartiments avaient dû survivre, car de temps à autre un tir fusait de certains endroits des ses tourelles. Les 350 mètres de long du fier navire n’étaient plus que plaies et bosses.

 Les chasseurs frelons de protection Mauves avaient duré en tout et pour tout 17 minutes. Les soutes et les ponts d’envol des deux nefs de l’avant-garde Jupitérienne étaient déserts, vides. Il restait 10 druidesses dans leurs cinq guêpes et deux autres intercepteurs Verts arrivaient en approche rapide.

 « Regardez ! Ils doivent encore avoir quelques Opexs en fonction, ils ouvrent deux sabords en quille. » Cria un des guetteurs système du « Sibierskaïa » qui fuyait au maximum de sa vitesse pour rallier le reste de la Flotte d’Invasion Jovienne. Sur les écrans, relayé par des sondes visio laissées sur le champ de bataille stellaire, les marins mauves virent deux guêpes passer furtivement sous la coque du gros croiseur mourrant. L’explosion des deux missiles au sortir même des sabords, foudroyés par les fusées rapides tirés en salve par les deux vertes au passage eut raison des dernière velléités de résistance à bord du Wessex. L’image s’éteint, la centrale de relais signaux de la nef vaincue ayant coupé toutes ses veilles. Le Général Commandant de l’avant-garde Mauve demanda humblement un cessez-le-feu pour son navire.

 Depuis le « Stinky Toy », ordre fut donné au « Wessex » de céder son pavillon à la G13 qui arrivait. Ce fut la Colonelle mauve Ranke 2 qui s’en chargea, puisque le Général Commandant avait – Dit-elle – succombé à ses blessures. En réalité, l’officier supérieur Rank était allé faire une courte promenade au dehors, en oubliant volontairement son scaphandre.

 Les Guêpes lâchèrent la poursuite du Sibierskaïa, et ce fut la fin du premier engagement astronaval de l’histoire humaine. Le second n’aurait lieu qu’une demi année plus tard et cette fois les Mauves engageraient l’ensemble des bâtiments de la Flotte d’Invasion.

 Quatre autres Unités Joviennes vinrent renforcer le dispositif d’attaque Mauve dans les six mois qui suivirent. Ils devaient attendre en espace profond depuis un moment déjà. Peut-être étaient-ils tenus en réserve pour le moment où l’invasion au sol de Mars commencerait ? À bord du transporteur ravitailleur « Belgrano », arrivé depuis une semaine, à couple avec le croiseur Amiral de la Flotte mauve, les hommes n’en savaient en général pas davantage. Sauf peut-être ceux qui étaient chargés des transferts d’armements au Pont 8.

 ………Pont 8 du « Général Belgrano »……………….

 Les dix marins regardèrent la lourde chaloupe de fret emporter le chargement qu’ils venaient d’amarrer solidement dans ses soutes. Les trois officiers supérieurs mauves qui avaient supervisé l’opération de bout en bout, après un dernier regard sur leur groupe, repartirent vers les ponts supérieurs.

 Ahmad - « Tu as vu ce qu’on vient de charger John ? »

 John - « Et ça dure depuis une semaine. Les copains du « Lord Byron » m’ont raconté qu’ils n’utilisent jamais deux fois la même équipe. »

 Ahmad - « Je ne savais même pas que ces engins étaient à bord du « Belgrano » il y’a dix heures. Tu parles d’un officier logisticien toi !..»

 John - « Moi si. C’est moi qui ai validé leur spatialisation il y’a deux jours. Il a bien fallu que je jette un coup d’œil sur ce qui était spatialisé, hein ? Des engins de 30 mégatonnes au Cobalt…Tu imagines ce que ça produit ? »

 Ahmad - « Je savais qu’on avait de quoi répliquer en force si le besoin s’en faisait sentir, mais là… C’est plus de la jolie science-fiction spatiale avec Lasers colorisés, on dirait.»

 John - « On vient d’en envoyer de quoi équiper nos 3 derniers croiseurs, toutes les unités de ligne sont pourvues maintenant. A ton avis ? »

 Ahmad - « À mon avis ? Si les 11 unités de combat les ont, on va bouger dans peu de temps. »

 John - « Bordel, quelle merde toute cette affaire ! »

 Ahmad - « Ils doivent préparer une éradication de l’ensemble de la flotte Verte. Ensuite on aura plus qu’à attendre et les Taupinières se rendront. Avec des engins de cette puissance, il suffit qu’un sur quatre explose, même loin de leurs nefs, et s’en sera fait de leurs foutues Guêpes et des Destroyers verts. »

 John « Il y’en a 4 par unité de ligne justement... »

 Ahmad - « Et s’ils les balancent au sol, John ? »

 John - « Ils n’oseront pas ! Tirer sur la Flotte verte c’est une chose, après tout eux aussi ont démoli le Wessex avec des Nukes. Dans les Terriers, Ahmad, ce sont des civils. »

 Ahmad - « Ouais…Un copain du guet sur le « Sibierskaïa » m’a assuré qu’on avait envoyé des Hydrogènes sur leurs Bâtiments mères. Avant qu’elles n’allument le vieux « Wessex ». Tu crois que c’est vrai ? Espérons que non, sinon ma famille ne voudra même plus m’adresser la parole. »

 John - « On va attendre sans rien faire Ahmad ?»

 Ahmad - « Oh oui ! On va faire ça. Parce que ce qu’on vient de charger n’avait pas le bon emballage ni les bons marquages et enfin, John, parce qu’on a pas d’autre choix.» 

 John - « Ca m’énerve que tu aies raison. » 

 Ahmad - « Moi aussi. John, moi aussi. » 

 ………………………………………………………. 

 Le deuxième affrontement n’allait avoir lieu qu’après une phase préparatoire que les Commodores Joviens voulurent éminemment psychologique. Ils essayèrent de faire parvenir les ultimes tirs d’avertissement aux assiégés. Environ deux missiles par semaine, du même type que ceux qui avait anéanti la G7 de Ludmilla – des bombes H de quelques mégatonnes – partaient depuis les croiseurs tandis que les chasseurs rapides Mauves, échaudés par leur premier et bref contact avec les guêpes se contentaient de manœuvres de diversion. Les projectiles étaient programmés ainsi que le prouvèrent la capture de certains d’entre eux, pour atteindre des zones inoccupées de la surface de Mars. Entre les pôles et la ceinture des Terriers. Les unités de ligne des Joviens se cantonnaient à une distance énorme pour procéder à leurs tirs. Les projectiles furent tous interceptés ou détruits avant d’arriver là où ils devaient aller. Au mois d’Août, les intrusions des engins mauves se rapprochèrent et les missiles de croisière ciblèrent ouvertement les trois réseaux de Terriers. L’escalade se poursuivait, posément, calmement, sans hâte. Les Verts avaient dû dévoiler à cette occasion l’escadrille de leurs guêpes au sol aux radars Doppler Mauves. Une douzaine de silos, enterrés et dispersés autour des 3 Terriers, cachaient des intercepteurs que Zdenka et Sean auraient voulu garder en réserve. Cela ne fut pas possible. Des pilotes du Terrier A avaient dû décoller en urgence pour détruire un missile endommagé par les crocs qui s’obstinait à continuer son approche vers eux.

 Pilote de la G23 - « On aurait mieux fait de laisser détonner celui-là et de garder l’avantage de la surprise pour l’attaque finale. Il semblait suffisamment dérouté pour ne pas exploser sur les rampes, ni à l’aplomb de la Ruche»

 Pilote de la G26 - « Les Vestales ne sont pas certaines de pouvoir garantir les champs de force protecteurs en cas d’attaque au-delà de 2 mégatonnes. Au mieux cela risque selon elles de les rendre inopérants pour quelques dizaines d’heures. »

 Pilote de la G24 – « C’est fait, c’est fait ! Inutile de revenir là-dessus. L’ordre venait de la « Bruja » en personne. On continue. Maintenant qu’on est dévoilées mettez-vous en approche spatiale, la « Pinta » a quatre places pour nous. » 

 Co-Pilote de la G26 – « Mais la « pinta » n’est pas encore terminée d’assemblage ! »

 Pilote de la G24 – « Et qu’est-ce que j’y peux ? - Silence radio absolu à présent ! »

 Pilote de la G26 – (en α-crypt) à sa partenaire de vol – « Rien n’est terminé ! »

 

 

 

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Commentaires
Solar Ranks
  • Texte de science-fiction/anticipation. Les siècles prochains l'humanité sera t'elle moins stupide que pendant ceux qui ont précédé ? Quelques parcours humains, animaux et végétaux en 700 pages.
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